Deuxième époque 1917-1918
Titre volume  Mattéo N°2
Titre de Partie  Mattéo
Auteurs   Gibrat, Jean-Pierre (Auteur)
Edition  Futuropolis : Paris , 2010
Collation   72 p.
Illustration   ill. en coul., couv. ill. en coul.
Format   32 cm
ISBN   2-7548-0114-6
Langue d'édition   français
Sujets   guerre mondiale (1914-1918) : bande dessinée
Russie : 1917
Catégories   BD Adulte
BD Jeunesse
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Ablis 00002895 BD MAT 2Adulte / Disponible à Ablis
Sonchamp 007063 741.5 GIB T. 2Adulte / -Disponible à Sonchamp
Rochefort en Yvelines 1085707852212 741.5 GIB Adulte / -Disponible à Rochefort en Yvelines
Résumé : 1917. Toujours déserteur, revenu clandestinement d'Espagne où il s'était réfugié, Mattéo passe à Collioure embrasser sa mère. Nous sommes le 1er août, jour anniversaire de la mort de son père. Le soir même, il revoit Juliette, qu'il tente en vain d'emmener avec lui. Tendre soirée désespérante sur la plage. Le lendemain, Mattéo, accompagné de Gervasio, l'ami de son père, embarquent pour Petrograd. Après trois de mer, les deux amis, en mission d'exploration pour le compte des anarchistes espagnols, sont au cœur même de la révolution qui s'embrase. C'est chez Amanda, la sœur de Gervasio, qu'ils se rendent. Mais en fait, elle et son mari sont en train de déménager '"à la cloche de bois", pour fuir les diables rouges ! C'est donc Dimitri, leur fils, un anarchiste libertaire et sa bande, qui leur souhaitent une bienvenue braillarde et soviétique, à coups généreux de vodka. Très vite, ils se voient confier des missions. Mattéo, celle d'immortaliser la révolution de l'espoir grâce à l'appareil photo offert par la section anarchiste espagnole ; Gervasio celle de cuistot au comité du quartier. Mattéo sillonne la ville : à Petrograd, on ne mourrait pas que de froid, ça dérouillait , et ses convictions politiques, ses idées humanistes, ses espoirs en prennent un sale coup. Il fait des portraits de pauvres types qui puent la misère , supposés être contre la révolution, et donc coupables, mais il trouve qu'ils ne ressemblent guère à l'image qu'il se faisait de la noblesse russe pétant dans la soie depuis Pierre Le Grand . Il est écœuré. C'est pour lui, le début des doutes, des interrogations complexes, des compromissions inévitables...